• Le feu sur la rive

    Le feu et l'utra-vivant, le feu est intime et il est universel. Il vit dans notre coeur. Il vit dans le ciel, il monte des profondeur de la substance et s'offre comme un amour. Il redescent dans la matière et il se cache, latend, contenu comme la haine et la vengeance. Parmi tous les phénomènes, il est vraiment le seul qui puisse recevoir aussi nettement les deux valorisations contraires : le bien et le mal. 

    Il brille au paradis, il brûle à l'enfer. Il est douceur et torture. Il est bien être et il est respect. Il est bon et mauvais. ll punit cependant de toute désobéissance quand on veut jouer de trop près avec ses flammes. Il est un des principes d'explications universelles.

     Les peuples de Mésopotamie invoquaient Gibil, dieu du feu, pour agir contre les mauvaises influences :

    Gibil, brûle le sorcier et la sorcière,

    Gibil, brûle-les ...

    Gibil, consume-les,

    Gibil, anéantis-les. 

     

     

    feu dans la nuit

     

     

     

     

     

     

     

    Le feu crépite

     

     


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