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    Trois saules couché sur le sol comme trois brindilles de paille, dommage pour ces êtres vivants qui n'ont rien demandé à personne, ils vont devenir de la chaleur, après quarante années de vie dans le marais...




    Pour le moment ils servent de sièges.



    La tête des grands saules à foudroyé d'autres arbustes dans leur chute.




    Les saules forment un pont au-dessus de l'eau.




    Ils ont cassé comme de vulgaires allumettes





    En quelques décennies, nous les humains, nous avons abimé, bafoué cette planète qui nous porte et qui nous nourris , nous marchons sur la tête, nous polluons de plus en plus pour notre plaisir, nous avons choisi la facile destruction de notre environnement. N'oublions pas que la terre ne nous appartiens pas, elle nous est  prêtée le temps de notre passage sur terre, ces quelques instants de vie dans cette immensité de temps, cela nous a suffi pour bouleverser cet être vivant qui nous supporte.



    Maintenant, la terre se venge, par notre bétise nous avons engendré des tempêtes qui vont devenir de plus en plus terribles, nous faisons fondre les glaces polaires. Maintenant que ce cycle destructif est en route, il ne va pas s'arrêter de sitôt .
    Les humains ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.


    Notre civilisation est chancelante et au bord du gouffre, saurons nous arrêter à temps ?

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